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Qui doit payer l’État date ?

Qui doit payer l’État date ?

La vente de biens immobiliers est strictement réglementée par la loi et oblige les propriétaires à remplir un certain nombre d’obligations, y compris les documents nécessaires. Le vendeur doit fournir une déclaration dite datée contenant plusieurs informations obligatoires au moment de la vente finale ou lors de la signature du contrat précédent.

Qu’est-ce qu’un sous-état désuet ?

La loi Aur a renforcé le principe consistant à informer le futur acheteur par le vendeur en cas de vente d’une propriété en copropriété. En fait, le vendeur est tenu de fournir plusieurs informations, y compris un ensemble de documents administratifs et financiers, afin que le futur acheteur dispose de toutes les ressources nécessaires pour connaître l’état de la copropriété qu’il va acheter. Avant l’Aur Act, ces documents doivent être soumis au moment du certificat d’achat. Maintenant, j’ai il peut être envoyé dès que la promesse de vente est signée.

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Quelles informations l’état daté doit-il contenir ?

En particulier, la déclaration datée permet au futur acheteur d’une propriété de se renseigner sur le montant des futurs frais de copropriété et la situation financière . Ces informations sont également celles mentionnées dans la déclaration antérieure, un document qui doit être soumis avant la signature du contrat d’achat, mais n’a pas d’existence légale.

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L’État daté est obligatoire et indispensable pour signer l’acte final de vente de biens immobiliers  et son contenu exact est précisément défini à l’article 5 du décret du 17 mars 1967, modifié en 2013. Selon cette loi, le Document composé de trois parties distinctes :

  • Premièrement, le relevé daté indique les montants restants dus par le vendeur , c’est-à-dire les honoraires impayés, les provisions à payer et les honoraires du syndic à payer au moment de la préparation du présent document. Le copropriétaire doit payer ces montants avant la signature de la vente.
  • Deuxièmement, le relevé daté doit agréger les montants à porter par le nouveau propriétaire, qui couvre en fait toutes les dépenses qui ne sont pas encore payées dans le cadre du budget prévu. Il est courant que ces dépenses futures soient réparties de façon approximative.
  • Le troisième type d’information contenue dans le relevé daté est les montants que le syndicat peut exiger au copropriétaire du vendeur . Principalement des avances de fonds. Ces montants seront remboursés au vendeur avant la fin de la vente.
  • En plus de ces trois informations principales, l’État daté devra peut-être mentionner les tentatives en cours dans la copropriété .

Quand faut-il indiquer l’état daté ?

Le relevé daté, qui vise à donner à l’acheteur un aperçu complet des dépenses et des travaux liés à la copropriété, doit également inclure des informations sur les dépenses des deux derniers exercices financiers et sur toute dépense budgétaire hors prévision. Ce document obligatoire, dont les contours sont définis par la loi, doit être présenté au moment de la signature du contrat préliminaire ou au moment de la vente finale d’un bien immobilier .

En particulier, le vendeur doit, dès que le La convention d’achat a été signée entre le propriétaire du vendeur et l’acheteur, faisant une demande de rédaction qui est datée du syndic. Il est ensuite présenté à l’acheteur avant la vente finale afin que l’acheteur garantisse une transparence totale des différents frais qui lui sont facturés après l’achat de la propriété. La demande de préparation de la déclaration datée peut également être soumise directement par le notaire .

Les coûts de ce relevé daté, qui doit être réalisé par le syndic, sont à la charge du propriétaire qui vend sa propriété, et le tarif de ce service est indiqué dans le mandat du syndic pour les services respectifs. Les prix varient de 200€ à 500€ selon les fiduciaires et les régions. Enfin, il convient de noter que la préparation de ce relevé daté permet au vendeur de prendre le bilan vérifiez l’état de leurs comptes dans la copropriété afin de vous mettre à jour si nécessaire.

Quel est le risque du syndic en cas de violation ?

En plus des trois informations principales, le statut daté doit également indiquer les essais en cours si nécessaire. En fait, il est courant que des procédures soient effectuées dans une copropriété, par exemple en raison de travaux effectués ou contre un voisin en raison du bruit ou de la détérioration. Les informations relatives à ces procédures en cours doivent donc être fournies après la déclaration mandatée et incluses dans l’État daté au moment des ventes. Sinon, si le vendeur n’a pas mentionné toutes les procédures en cours ou si le syndic est certain dans le condo procédure omise, sa responsabilité pour contention dolosive, c’est-à-dire par omission volontaire, pourrait être assumée.

Par conséquent, en cas de défaillance du syndic qui n’aurait pas informé le copropriétaire d’une procédure judiciaire en cours, un copropriétaire peut invoquer l’inapplicabilité des montants induits par cette procédure . Cela signifie que l’acheteur peut ne pas avoir à supporter les coûts associés à cette procédure si le propriétaire n’a pas été informé de son existence dans la déclaration datée établie par le syndic.

Dans le cas où une procédure de paiement en cours est engagée par le syndicat contre le propriétaire du vendeur, l’acheteur n’aurait pas à répondre à la propriété. Seul le vendeur devra en supporter les conséquences, et les montants dus proviendraient alors du prix de vente de la propriété. soustrait .

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